La technologie de pointe au service de la santé

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La santé est au cœur de nos préoccupations à tous. Malheureusement, la désertification médicale et le rallongement des délais d'attente pour obtenir un rendez-vous chez un spécialiste altèrent le parcours de soins des Français. Nous sommes bien souvent découragés et attendons trop de temps avant d'entreprendre de nous faire dépister ou soigner.



Chez SkinMed, nous voulons mettre la haute technologie au service de la santé. L'aide au diagnostic via des intelligences artificielles est la solution ! Aujourd'hui, ce sont les médecins, pharmaciens ou infirmiers, vos interlocuteurs de proximité, qui sont en première ligne. Les équiper de dispositifs reliés à des algorithmes pourrait permettre une prise en charge plus rapide de certaines pathologies, mais également désengorger les salles d'attente des spécialistes des problèmes les plus bénins ou préciser l’objet des RDV.



SkinMed propose des solutions !

LA PROBLEMATIQUE SANTE

La désertification médicale

Les graves difficultés d’accès aux soins que l’on constate aujourd’hui tiennent, non seulement de la répartition territoriale des médecins, en particulier des spécialistes, marquée par de criantes inégalités, mais aussi à l’effectif de médecins (spécialistes comme généralistes), et du temps médical disponible qui sont très en deçà des besoins de santé grandissants d’une population qui augmente, vieillit et souffre de plus en plus souvent de maladies chroniques.



En effet, selon les données de l’Institut national de la statistique et des études économiques (INSEE) et de l’Institut national d’études démographiques (INED), la population française a augmenté de plus de 20 % entre 1979 (53 481 073 habitants) et 2018 (67 609 062 habitants), mais aussi vieilli, à l’instar de la démographie des médecins. Selon le CNOM, les médecins âgés de 60 ans et plus représentent 47 % de l’ensemble des médecins inscrits au tableau de l’Ordre contre 27 % en 2007 ».

Les conséquences

Un sondage de la société BVA pour la fondation April publié en avril 2018 a ainsi révélé que « plus de 7 Français sur 10 ont renoncé au moins une fois à se soigner, quelle que soit la raison », que « c’est avant tout du fait de délais d’attente trop longs pour obtenir un rendez-vous (51 %), puis de l’impossibilité de trouver un médecin en dehors des horaires standards (39 %) ou du fait du refus de prendre de nouveaux patients (38 %) » et enfin « par manque de moyens financiers (33 %) En 2019, 7,4 millions de Français vivaient dans un désert médical Ils étaient 5,7 millions en 2016, alertent l'Association des maires de France et la Mutualité française dans une étude.



Le temps médical effectif est en baisse, alors même que les besoins de santé ont augmenté. Selon une enquête, publiée en mars 2012 par la DREES, si « 78 % des médecins généralistes déclarent travailler 50 heures ou plus par semaine » et si « la durée moyenne d’une semaine de travail est de 57 heures », cette durée « est en revanche moins élevée pour les médecins femmes (53 heures contre 59 heures pour les hommes) et les praticiens de 45 ans ou moins (55 heures contre 58 heures pour les 45 ans ou plus) .


Travaillant moins d’heures, les disponibilités de rdv sont donc moindres. Le délai d’attente moyen pour une consultation chez un médecin spécialisé a désormais franchi la barre symbolique des 60 jours et devient un véritable frein pour se soigner. Au-delà de la disparité entre les spécialités, il existe aussi des disparités géographiques, notamment avec les déserts médicaux. Alors qu’il faut en moyenne 95 jours en ville pour obtenir une consultation chez un dermalmologue, il en faudra en moyenne 124 dans les zones rurales.

LA DERMATOLOGIE

Aujourd’hui en France, il s’avère très compliqué et long d’obtenir un rendez-vous chez un dermatologue. Deux facteurs sont en cause : le faible nombre, et toujours en baisse, de dermatologues et la non prise en charge des nouveaux patients. Selon la DREES, Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (sous tutelle du ministère de la Santé), la densité nationale moyenne en 2018 était de 5,9 dermatologues pour 100 000 habitants.



La spécialité « de la peau » a perdu 9 % de ses effectifs en dix ans et l’évolution moyenne des effectifs en France à l’horizon 2030 sera de -3% ; en cause, de nombreux départs à la retraite non compensés par les arrivées dans le métier de jeunes dermatologues (seulement 450 nouveaux dermatologues sont formés chaque année) et un âge médian de 54 ans en 2021. En 2020, on comptabilisait 3 806 dermatologues en France.

LA PEAU

La peau est l’organe le plus étendu du corps humain. Acné, vitiligo, eczéma, psoriasis, mycose, couperose, herpès, il existe de nombreuses maladies de peau qui touchent les nourrissons, les enfants, les adolescents, les adultes et les seniors. D’après une enquête inédite publiée en septembre 2017 par la Société française de dermatologie (SFD), 16 millions, c’est le nombre de Français (âgés de plus de 15 ans) touchés par des maladies de peau aujourd’hui. Soit une personne sur trois.



Les femmes sont les plus concernées ici : 33 % contre 28 % d’hommes. 80 % de ces seize millions de Français souffrent même de deux maladies de peau. L’acné arrive en pole position avec 3, 3 millions de Français concernés, devant l’eczéma (2.5 millions), le psoriasis (2,4 millions), les maladies du cuir chevelu (2,3 millions). Viennent, ensuite, les mycoses (2, 2 millions), les maladies des ongles (2,1 millions), les taches brunes (1,8 million), les verrues (1,7 million), l’herpès (1,22 million).



En queue de peloton : les allergies solaires (1,19 million) et les grains de beauté jugés suspects (1,1 million). Parce qu’elles sont visibles, les maladies de peau sont parmi les plus stigmatisantes qui soient. Ainsi, 54 % des personnes atteintes d’une maladie de peau souffrent d’anxiété ou de dépression. Selon les dermatologues, une prise en charge rapide permet, dans la plupart des maladies cutanées, « de limiter les dégâts. Car souvent, plus le diagnostic et les traitements tardent, plus lourdes voire irréversibles sont les conséquences pour les patients. »

LES CANCERS CUTANES

Selon Santé Public France (2018), sur les 400 000 nouveaux cancers depistés chaque année, tous cancers confondus, 80 000 sont des cancers de la peau soit 1 sur 5 ! Le mélanome cutané est le premier des cancers en termes d’augmentation de fréquence. Chez l’homme, le nombre de cas incidents de mélanome cutané a été multiplié par 5 (+371 %) entre 1990 et 2018, et chez la femme, il a été multiplié par 3 (+189 %). Le pic d'incidence se situe entre 40 et 50 ans.



L’âge moyen au diagnostic est de 60 ans, chez la femme et de 66 ans chez l'homme. Le mélanome survient à tout âge et c’est le cancer le plus fréquent de l’adulte jeune entre 25 et 50 ans. Le mélanome possède la plus forte augmentation d’incidence parmi tous les cancers. Dans les pays occidentaux, la fréquence des mélanomes est multipliée par deux tous les dix ans depuis 50 ans.



Lorsqu’il est diagnostiqué précocement, le taux de survie à 5 ans se situe entre 95 et 98%. Lorsqu’il est tardif ce chiffre dégringole à 15% de chance. L’intervention active des médecins traitants dans le système de soins coordonnés français semble donc indispensable afin de travailler en partenariat avec les dermatologues et notamment, concourir à l’amélioration du diagnostic précoce du mélanome cutané.

LE DISPOSITIF DERMATOLOGIQUE SKINMED

Logo Skinmed

Algorithmes : logiciels VS IA

Depuis plus d’une décennie, les fabricants de dispositifs médicaux ont construit des algorithmes, puis les ont vendus sous forme de logiciels (software) intégrés dans des machines (ECG, polygraphes, spiromètres, etc.). Ces « built-in algorithms » sont capables de mesurer automatiquement les paramètres physiologiques et d’identifier des troubles.



Le service qu’ils rendent en temps réel versus l’interprétation humaine est de façon unanime insuffisant dans les situations d’urgence ou dans les cas complexes : manque de sensibilité (faux négatifs nombreux) ou manque de spécificité (faux positifs nombreux). De plus, ces softwares sont rarement mis à jour après la date d’achat.



Les méthodes d’intelligence artificielle qui utilisent le big data (banque d’images de taille considérable) et la puissance de calcul du « cloud » supplantent progressivement toutes les méthodes d’interprétations fournies par les constructeurs de software fournit avec l’achat d’une machine. l’IA permet d’aller au-delà de ce qui est classiquement visible pour l’homme et de faire des hypothèses fiables sur la survenue d’évènement.

Le pack DERMO+

Le dermoscope choisi par SkinMed a été conçu avec précision aux Etats-Unis et fabriqué à partir d'aluminium recyclable. Il comprend une lentille à quatre éléments de 25 mm, 28 LED haute puissance et le tout nouvel éclairage PigmentBoost®. Il est essentiel pour un dermoscope d'avoir une lentille d'un diamètre supérieur à 20mm afin de pouvoir voir la lésion complète. Pour une facilité d'utilisation optimale, une pression rapide sur son bouton d'alimentation bascule instantanément entre les modes de polarisation tandis que le mode PigmentBoost produit un éclairage plus chaud rappelant les dermoscopes conventionnels.



SkinApp est une application web sécurisée conçue pour utiliser en temps réel les photos des lésions des patients, acquises pendant la consultation à l’aide du dispositif de SkinMed. Grâce à l’algorithme d’intelligence artificielle Skinan les photographies de lésions sont instantanément analysées pour une aide au diagnostic. La plateforme SkinApp offre aussi la possibilité de dialoguer avec des dermatologues via un service de messagerie instantanée et pourra courant 2022 s’inscrire dans un contexte de télé-expertise. Les données traitées sont stockées de manière confidentielle et sécurisée chez un hébergeur agréé de données de santé certifié par le ministère des solidarités et de la Santé.

Le Pack DERMO+